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Antihistaminiques

Dangers et dépendance

Phénothiazines : neuroleptiques

Neuroleptiques
"Nous croyons qu'une pratique plus rationnelle de la psychiatrie éliminerait l'usage d’une médication si dangereuse."
 
 
une famille d’antihistaminiques, les phénothiazines, qui ont valu un prix Nobel de médecine à un chercheur qui a longtemps travaillé en France, Daniel Bovet, et qui ont été à l’origine de la découverte des neuroleptiques puis des antidépresseurs tricycliques dans les années 1950
 
neuroleptiques cachés : partiel / mépronizine, agréal, noctran, vogalène, primpéran, Dogmatil, Anausin, Cephalgan, Migpriv , Sibélium, Tildiem, Tanganil
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phénothiazines chlorpromazine (Largactil®)., butyrophénones. l'halopéridol (Haldol®), benzamide (Dogmatil®). thioxanthènes (Fluanxol®),
 
La phénothiazine est un agent insecticide et anthelminthique synthétisé initialement en 1883 à partir de bleu de méthylène, découvert sept ans plus tôt par Paul Ehrlich.
 
Phenothiazines : Antihistaminiques (neuroleptiques cachés)
 
Le bleu de méthylène, ou chlorure de méthylthioninium, est un dérivé de la phénothiazine à la fois médicament et colorant dont l’action repose sur les propriétés rédox. Il a été préparé pour la première fois par Heinrich Caro en 1876
 
« Les prisonniers politiques en Russie soviétique ont été torturés avec des «antipsychotiques» phénothiazines » « En Russie,c’est de la la torture. En Amérique, c’est de la « thérapie ».
 
La phénothiazine est un agent insecticide et anthelminthique synthétisé initialement en 1883 à partir de bleu de méthylène, découvert sept ans plus tôt par Paul Ehrlich.
 
composé C12H9NS utilisé comme vermifuge et insecticide en particulier en medecine veterinaire
différents dérivés de la phénothiazine (comme chlorpromazine) qui sont utilisés comme tranquillisant agents surtout dans le traitement de la schizophrénie
 
Taractan, Emergil, Etumine, Loxapac, Largactyl, Plégicil, Psyquil, Nozinan, Tercian, Témentil, Terfluzine, Majeptil, Moditen, Trilifan, Oxaplumine, Melleril, Neuleptyl, Leptryl, Piportil.
Les phénothiazines à action antiallergique :
Théralène, Noctran, Mépronizine, Supponizine, Mandrax, Donormyl, Phénergan, Insomnyl.
Les phénothiazines à action antitussive :
Théralène, Doxergan, Centrophène, Cotrane
 
Les neuroleptiques (également appelés « antipsychotiques ») agissent sur les neurones, ces cellules formant le cerveau et le système nerveux. Les neurones communiquent entre eux grâce à des molécules, les neurotransmetteurs, qui font office de « messagers » en sautant d’une cellule à l’autre à très grande vitesse. Chaque neurone possède des « récepteurs », qui permettent de recevoir des molécules, ainsi que des « émetteurs », qui envoient une autre molécule au neurone suivant. Les neuroleptiques agissent en bloquant partiellement la réception d’un des neurotransmetteurs les plus importants, la dopamine (Les neuroleptiques dits « atypiques » agissent également sur les récepteurs d’une autre molécule, la sérotonine). Les molécules du médicament viennent se placer sur une partie des récepteurs, les empêchant de recevoir les molécules de dopamine. Jusqu’à 70% de ces récepteurs peuvent être bloquées lors d’un traitement à doses élevées. L’intensité des impulsion nerveuses, et, donc, des sentiments (peur, colère, joie…), est ainsi diminuée. Mais les neurones réagissent au traitement: de nouveaux récepteurs à la dopamine peuvent apparaître durant le traitement ce qui cause de sérieuses difficultés au sevrage se traduisant pas une hypersensibilité intolérable. Les neuroleptiques sont généralement prescrits sur une longue période, souvent à vie. Pourtant, leurs effets indésirables sont nombreux: difficultés de coordination, troubles de concentration, prise de poids, tremblements. Certaines séquelles peuvent être définitives, la plus connue étant la dyskinésie tardive, qui se traduit notamment par des contractions involontaires et incontrôlables de la langue et du visage. Les aspects désagréables d’un traitement aux neuroleptiques sont tels que ces médicaments ne devraient être administrés qu’en cas de nécessité absolue – or, c’est le contraire qui se passe actuellement.

Neuroleptiques / antipsychotiques : 20 ans d’espérance de vie en moins

Depuis lors, l’espérance de vie des personnes traitées dans la communauté des centres de santé mentale a plongé à un effroyable 25 ans inférieure à la moyenne. L’espérance de vie a chuté de pas moins de 15 ans depuis 1986. Les indications sont que le taux de mortalité continue de s’accélérer dans ce qui doit être classé comme l’un des pires désastres sanitaires dans l’histoire américaine.
 
Un documentaire intitulé « The Dilemma of Psychiatry » a été diffusé sur la chaîne de télévision danoise 1 le 13 mai.
Le documentaire se demande pourquoi l'espérance de vie des personnes qui reçoivent un traitement psychiatrique est de 20 à 25 ans plus courte que celle des personnes qui ne reçoivent pas de traitement. Les questions posées sont entre autres : le

« Tous les essais cliniques sur les neuroleptiques et les antidépresseurs, sont biaisés »

Je soutiens STOP MED TORTURE / SMT

Torturées par leurs médecins, avec des médicaments, des millions de personnes, chaque année, en meurent, sont handicapées ou sont poussées au suicide par d'atroces souffrances. Témoignons, manifestons et disons : STOP A LA TORTURE AVEC DES MEDICAMENTS !!!

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